Il existe plusieurs écoles et méthodes qui proposent des formations à la facilitation graphique. Il y a aussi de bonnes ressources en lignes (gratuites), en voici quelques unes :
- En présentiel :
– Formation de niveau débutant à la méthode Bikablo® chez Kommunikationslotsen en Allemagne – le lien ici (en allemand sinon ce n’est pas drôle) 😉
– La formation « Scribing » par Wild is the Game qui s’adresse elle aux facilitateurs graphiques 😉 C’est la formation officielle de la FCGP (Facilitation Graphique Communauté de Praticiens). Le lien par là.
– Stage de Bd chez l’Iconograf pour les Strasbourgeois. Attention , le stage s’adresse aux gens qui souhaitent apprendre les techniques pures de bandes-dessinées, il vaut mieux être préparé quand on ne sait pas dessiner 😉 Ceci dit, en y allant en mode positif, on apprend une foule de choses intéressantes. Le lien par ici.
- Les ressources en ligne :
– Le Webinar de Roberta Faulhaber « La métaphore du corps dans la facilitation visuelle » est super bien pour démarrer. A regarder avec papier et crayons en main 🙂 – Le lien là
– Le MOOC en ligne sur le Doodling, sur Openclassroom, bien pour démarrer – le lien est là.
– La formation « Apprendre à dessiner » aussi en ligne sur Openclassroom, qui a depuis disparue. Vous pouvez trouver les éléments de formation sur le blog de l’auteur, ici. Les sujets sont techniques, mais très bien expliqués. L’objectif est plutôt de former des dessinateurs, mais les facilitateurs graphiques qui ne sont pas issus du monde du dessin y trouveront de bonnes infos pour progresser.
- Une petite remarque pour ceux qui sont tentés par les formations :
les écoles sont différentes par leurs méthodes : on dessine sur du papier chez Kommunikationslotsen, alors que la formation Wild is the Game utilise les outils effaçables (Veleda and Co.). Vous me direz que cela ne change pas grand chose sur la façon de tracer les visuels et c’est vrai. En revanche, cela oriente vers des stratégies très différentes lorsqu’il s’agit de scriber en live : si l’on sait que l’on peut gommer quelques erreurs sur une surface effaçable, il n’en est rien sur du papier. Les techniques de scribing sont simplement différentes. Bref, il n’y a pas de « meilleure » solution, la meilleure étant celle qui vous convient, mais j’avoue que lorsque l’on démarre avec un type d’outil c’est plus difficile d’en changer ensuite 🙂